Entre nous !

J’ai souhaité créer ce blog pour parler non pas métier, mais rôle !
Suis je avant tout une psy ou avant tout une femme ?
Je suis avant tout un être humain, qui a la faculté de pouvoir comprendre ce que vous ne comprenez pas en vous m’aime, vous m’aime et non vous même car reichienne !
Alors oui, je suis d’abord femme et psy ensuite, car être psy est comme une ombre pour moi ; lorsque je me regarde dans un miroir qui vois je et qu’y vois je ? Moi certes et vos vécus, vos ressentis, vos energies et vos larmes.
Qui voyez vous et qu’y voyez vous en arrivant dans mon cabinet, d’abord une psy ou d’abord une femme ? Votre douleur ou mon sourire ?
Si je suis bien dans ma peau de femme, je serais bien dans mon rôle de psy. Je ne suis ni abordable ni inabordable, je suis tout simplement l’autre et n’en deplaise à Monsieur Lacan la femme existe puisque je suis…

Bienvenue sur notre blog ; le mien et le votre car que serions nous les uns sans les autres ?!

Pour m’écrire en privé : jp_psy@hotmail.fr

Entre nous ! the-two-vladimir-kush
 

Mon roi ! Cet article est destiné à toutes les personnes bipolaires

En cours d’écriture

Un rêve si présent…

La chaleur d’aujourd’hui m’a ensommeillée et comme il nous arrive à tous parfois, je tenais un rêve que je ne voulais lâcher.

En me réveillant j’ai voulu lui écrire pour le lui décrire et puis à quoi bon ? ! Il n’a jamais voulu entendre, il n’a  jamais voulu comprendre…
Pourtant lui poser par mail juste la question ‘ Allez vous bien ? ‘ me tient fortement.

C’était lui sans être lui, c’était un lui vivant, riant, souriant et aimant ; celui que j’ai connu un peu mais si peu, seulement lorsqu’il lâchait prise, lorsqu’il descendait de son trône de PSY et que son regard bleu acier prenait quelque chose d’humain.

Ces moments si rares sont gravés en ma mémoire dans la catégorie VIE, comme ce jour où nous sommes tombés ensemble sur le divan dont nous changions la place réagençant la disposition de son cabinet par souci d’aisance avec ses béquilles. Les jours où il venait dans mon bureau avec un gâteau m’affirmant que le pâtissier d’en bas l’avais obligé à me l’acheter. Les fous rires lorsque allongée sur ce même divan, je m’amusais à le regarder sous ses lunettes. Cet après midi où nous avons choisi ensemble son nouveau fauteuil qui ne grincerait pas comme l’ancien. Les jours de claquage de portes où il m’attendait devant mon bureau craignant que je ne revienne pas…

Ces instants où il était là, vraiment là, comme dans ce rêve…

Intemporel et sans adresse, je suis juste face à lui et il me sourit.

Il existe des personnes autour mais servant presque de décors. J’entends sa voix qui me demande de me rapprocher de lui et il saisit ma main… Nous ne marchons pas ensemble nous flottons. Ma joue effleure sa veste de couleur rouge, elle est douce au contact, des effluves délicates me parviennent et je retrouve son odeur.
A cet instant, je ne sais plus s’il s’agit d’un rêve ou d’une réalité et par cette ignorance je me persuade de ne surtout pas ouvrir les yeux pour ne rien briser.

Il me parle. Que me dit il ?
Sa voix me parvient comme s’il se trouvait à des dizaines de mètres et pourtant il est près de moi.

Je lui parle et il semble ne pas m’entendre non plus, alors me reviennent ces moments douloureux où il ne m’entendait pas et où pourtant je lui criais
‘ je vous aime’
Mais non, ce n’est pas la même chose qui se répète puisqu’il tient ma main… Et d’ailleurs je le tutoie ce qui me surprend… d’ailleurs…

Une vieille dame nous demande de prendre le thé, il lui répond que nous n’en avons pas le temps… Il semble bien la connaitre à la façon dont il lui sourit…
Ce n’est pas son sourire de convenance ‘psy’, c’est son vrai sourire…

Nous faisons encore quelques pas mais sur une route cette fois, puis il s’arrête net et me prend dans ses bras.

Ses lèvres se posent sur le miennes presque pour me faire taire car je parle encore. Son baiser est aussi doux que je l’eut imaginé tant de fois par le passé et puis je sens qu’il s’éloigne et je ne le veux pas mais les mots ne sortent plus car je pense fortement à cet instant que ce sont eux, les mots, qui ont tout gâché…

Ainsi je me suis réveillée, des larmes coulant sur mes joues et mouillant mes lèvres comme les traces d’un baiser à jamais rêvé…

Je me souviens, à cet instant, que sur son écran d’ordinateur très souvent j’ai vu le même article ‘ Un amour de transfert’ et si je devais lui dire quelque chose après toutes ces années, ce serait simplement qu’il n’a pas vu plus loin que le bout de son nez et que la vérité se trouve ailleurs que dans les pages des centaines de livres de sa bibliothèque ! Que la cybernétique ne remplacera jamais l’âme d’un cœur humain !
Qu’ un contact 24 heures sur 24 et 7 jours sur 7 entre un homme et une femme durant des mois et des années ne fera jamais une relation psy/patiente.
Que ‘patiente’ je l’ai été mais dans sa définition première et que parfois l’on préfère se flageller soi même pour ne plus souffrir par l’autre…………

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Parfois…

Dans notre vie parfois, nous regrettons certaines rencontres ; celles qui  ont apporté de la peine et des larmes à nous et à ceux qui nous aimons, à ce cercle qui est notre !
Pourtant avec du recul, parfois beaucoup de recul, nous nous apercevons que sans ces rencontres notre vie ne serait pas ce qu’elle est aujourd’hui et nous ne serions pas ce que nous sommes aujourd’hui.
Oui, parfois ces rencontres nous poussent à faire des choix heureux que nous n’aurions certainement pas faits en d’autres perceptives.
Et parfois, par ces personnes, certes qui nous ont été nuisibles les chemins du bonheur nous ont été ouverts.
Les trahisons parfois mènent à la joie de se reconstruire.
Alors, parfois, et bien sur sans leur dire merci, mais du haut de notre nouveau MOI qui rayonne, nous avons envie de leur dire :
- Et toi ça va la vie ? Parfois ?

 

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Dans les yeux d’Inès…

Il est des moments où les mamans souhaiteraient avoir tort !

Ces moments où elles entendent avec des larmes dans la voix, leur fille leur dire :

- Tu avais raison maman !

Après tous ses moments de souffrance, elle méritait d’être heureuse mais je savais que ce ne serait pas avec lui, alors entre sa résolution et son acceptation comme à son habitude, ma fille s’est fermée… Maïly a grandi loin de nous, puis petite Lynette est née que je connais encore peu et enfin Inès…

Épuisée à force de tout assumer seule, abandonnée par un mari dont je tairai  les qualificatifs par pudeur pour ses enfants, ma fille a enfin demandé de l’aide et m’a confié ce petit bout de 14 mois qui ne marchait pas encore et qui parlait à peine…

Nous nous sommes apprivoisées l’une et l’autre et j’ai compris très vite que tout passait dans le regard d’Inès… Les joies, les peines, les interrogations, la surprise…

J’ai repris un rythme de maman, levée 6h00 ; couchée tôt exténuée et mes journées entières consacrées à bébé un maximum ne supportant les autres qu’un minimum. Elle s’est emparée et de mon cœur et de ma patience !

Dans le regard d’Inès mon conjoint s’est noyé lui aussi devenant PAPY PAPY PAPY PAPY ; mot qu’elle prononce à répétition par plaisir, par jeu et par amour.

Dans les yeux d’Inès se trouvent la pureté de la vie, l’innocence, la simplicité et je rejette aujourd’hui tout ce qui peut être compliqué.
Le relationnel doit être simple où c’est échec et mat qui se produit.

Je ne saurai réellement expliquer ce qui s’est passé en moi, alors je dirai juste que la vie est simple comme Inès…

Je me retrouve tellement en elle, son caractère c’est le mien et ce regard… Aussi…..

Aujourd’hui, elle marche, coure et parle à tout va à qui veut la comprendre. Nous avons eu les premiers pas, les premières chutes, les premiers mots, les premières découvertes………

Je ne sais ce que sa mémoire lui laissera de ces mois passés chez nany et papy mais ici elle a laissé un vide immense même si son bonheur, nous le savons, ne peut être que près de sa maman et ses grandes sœurs.

Dans les yeux d’Inès se trouve l’océan qu’elle a découvert avec nous fascinée par le vent de la côte Normande.

Oui c’est cela… Dans le regard d’Inès il y a l’océan…………………………..

 

 

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couverture mon psy et moi

 

Être en analyse

De petits mots écrits et alignés d’une analysante qui je le crois décrivent précisément le ressenti profond d’un être en analyse :

voyiez,
à force de travailler sur moi, de libérer, je découvre,
en tous cas c’est impressionnant de voir ce que l’on porte en soi, derrière la conscience. La conscience serait-elle donc un protecteur? paravent? abris anti atomique? 

PS : c’est comme chercher les oeufs!

Pertinents et consciemment inconscients… Les mots…

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Et si l’on me demande pourquoi souvent DALI ici, ma réponse sera toujours la même :

DALI c’est la psychanalyse en images ou la peinture de la psychanalyse…

Bipolarité

Si je devais mettre une image sur cette souffrance ce serait celle ci :

Bipolarité  dans Les thematiques blog%2B-balance%2Bdesequilibree%2Bde%2Bjustice… Une balance déséquilibrée en constants mouvements…

Mais une balance ne se déséquilibre pas seule, il lui a souvent fallu un poids trop lourd pour qu’elle n’arrive plus à se tarer seule ou que l’on ne puisse plus rien y poser sans que le résultat soit faussé !

Imaginer cette balance chez vous, un jour elle penche à droite et le lendemain à gauche sans que vous y touchiez et quoique que vous fassiez vous ne pouvez maintenir les plateaux en équilibre, bien droits face à face. Vous aurez beau resserrer un boulon, changer une visse, rien n’y fera et pourquoi ?
Parce que vous ignorez l’histoire de cette balance et ce qu’elle a pu porter… plume ou plomb… Un kilo de trop reste un kilo de trop.

Cette petite chose en image est le psychisme d’une personne souffrant de ce que l’on nomme à bon ou mauvais escient ‘ bipolaire ‘

Alors bien sur, tant les changements sont voyants et flagrants tels cette image le souffrant se bat et se bat encore pour les masquer et cacher parce qu’il est une chose que notre société ne n’accepte pas c’est la différence et si leur douleur intérieure est immense ; le regard des autres en rajoute encore davantage.

Vous admirez sans aucun doute des tableaux, des musiques, des livres, des sculptures… des siècles passés… des œuvres crées par des personnes différentes que l’on ne craint  pas aujourd’hui d’affubler de maladies psychiques comme la schizophrénie ou physiques ayant entrainé des séquelles psychologiques comme la syphilis et peu importe la douleur intense qui les a conduit à ces créations ; l’on se contente d’écouter, de lire, de regarder…

Pourtant, en lisant, en écoutant, en regardant plus intensément encore vous y verrez les mêmes plateaux que cette balance ou y entendrez le tintement de ce déséquilibre et ce simplement parce qu’il faut passer par différentes phases, maniaques et dépressives pour obtenir les plus belles créations que l’être humain ait pu concevoir…

Il faut avoir souffert énormément pour que les tripes s’étalent ainsi dans l’art.

Si l’on avait lobotomisés ces GRANDS et GRANDES qu’admireriez vous aujourd’hui ?

L’on ne répare pas une personne bipolaire, pas plus que l’on ne réparera cette balance !
Les personnes bipolaires ne sont pas des cobayes auxquelles l’on tente de faire avaler les dernières pilules sur le marché du lobby pharmaceutique !

Une personne bipolaire est avant tout un être en grand besoin d’écoute et de compréhension, si vous ne la jugez pas, elle créera. Cette personne a autant besoin d’attentions que d’oxygène mais surtout elle a autant besoin d’en recevoir que d’en donner.

Bloquée par le carcan d’une société eugéniste ;  affaiblie par ce poids trop dont elle ne connaitra sans doute jamais l’origine ; elle tente de se soigner pour se conformer alors qu’il suffirait de la laisser s’ouvrir à ce qu’elle en a en elle pour qu’elle vous épate par ses dons et seulement là en elle et seulement en elle les plateaux de la balance s’équilibreront !!!!!!!!!

Pensez en admirant ce que l’on trouve de si beau aujourd’hui que ces grands et grands n’étaient autres que bipolaires………..

Laissez les briller !

Balance dans socio

 

 

V I O L

Je me suis faite rare ces dernières semaines totalement impliquée jours et nuits à tenter de sauver une jeune fille.

La sauver d’elle même et de ses fantômes d’un passé terrible et terriblement présent pour elle… jours et nuits – nuits et jours…

Fauve avait 15 ans et à 18 elle réalise !

Oui seulement maintenant comme cela est fréquent tant la chose est ignoble le psychisme la refuse et surtout lorsque la personne violée passe totalement inaperçue au sein de sa propre famille, même le soir de l’acte immonde… Personne n’a rien vu et aujourd’hui personne ne veut entendre…

Plusieurs psy déjà vus et là encore personne n’a compris ce qu’elle ne pouvait pas dire :

- Je me suis fait violée !

Non il n’était pas 1 – ni 2 – ni 3 – ni 4 – ni 5 – MAIS plus encore
Oui un viol en réunion.

Une jeune fille de 15 ans, bonne élève et bien sage qui rentrait simplement chez elle

Maman n’a rien voulu voir
Papa ne la voit plus
Trop dur pour des parents….

MAIS   ELLE  !!!!!!!!!!!!!!

Elle, elle le vit seule depuis 3 ans parce que c’est plus confortable pour tout le monde

Alors elle a aussi refoulé pour eux ; pour ne pas les faire souffrir et s’est mutilée chaque jour un peu plus, un peu plus, un peu plus, un peu plus….

Et puis un émoi, le coeur qui bat et tout ressurgit.
L’insupportable. L’ignoble et l’innommable.

Alors je suis là je réponds et j’écoute. Jours et nuits et nuits et jours.
Plus de mutilation

LA COLÈRE !

Processus habituel d’une possible reconstruction mais tellement longue et tellement douloureuse.

Et maintenant enfin elle dit :

JE ME SUIS FAIT VIOLÉE !

 

A toi Fauve

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Protégé : J’ai marié ma fille…

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Ballade en l’Ardèche

En ces temps hivernaux où la neige n ‘arrive pas sur mes collines balayées par le mistral et en regardant grandir ma plus jeune fille sortant d’une semaine de bac blancs, je songe en ces autres temps de vie en Ardèche.
Choix d’une autre vie, loin des villes, loin de tout confort.
Juste la nature, un papa, une maman et une petite puce de 2 ans et demi.
Je me souviens de notre arrivée dans cette toute petite maison posée comme un nid au fond d’une vallée.
C’était une fin d’octobre, une petite annonce de location dans une boulangerie durant notre semaine de vacances ardéchoises avait attiré notre attention. Lors de notre visite nous nous demandions à quel moment nous atterririons, tant nous descendions et tant les routes devenues chemins serpentaient longeant des maisons malheureusement en ruines comme des traces de vies passées à ne pas oublier…
Il ne nous fallut pas longtemps pour nous décider à tout quitter. Emilie indépendante vivant dans son studio, continuant ses études et commençant sa vie à elle.
Nous voulions offrir à Léopoldine simplement son père et sa mère rien qu’à elle pour quelques années.
La maison… Une pièce à vivre avec une cheminée et une immense porte fenêtre donnant sur la beauté ; une petite chambre borgne et une salle de bain sans chauffage…
Au niveau du terrain, nous n’avions qu’à nous servir des kilomètres de nature alentour…
Le loyer… 800 francs…
Un seul voisin à quelques centaines de mètres, vieux garçon de quarante ans vivant avec sa mère octogénaire et plus… Lise…
Le premier village à 8 km avec son épicerie dépôt de pain et son petit café restaurant.
Nous voilà posés tous les 3 au milieu de nul part et l’hiver approchant.
Papa, maman dormant sur le canapé et petite puce dans la chambre où fut installé un chauffage électrique car seule la cheminée chauffait la maisonnette.
Le bois nous allions le couper, le ramasser, le fendre et le faire sécher dans les dépendances, bébé ramenant les brindilles, fière !
Nous étions en ces moments accompagnés de nos deux chats qui bien sur avaient fait aussi le voyage, heureux de ce pouvoir de liberté totale.
Je me souviens du givre le matin, sur la porte vitrée à l’intérieur de la maison, il y faisait environ 7° au réveil en plein hiver, je lavais la puce dans sa chambre, l’habillait chaudement et elle venait s’installer près de la cheminée pour prendre son petit déjeuner, tout sourire et rire de la neige dehors où elle savait aller bottée et capuchée trainant ‘nounours’ sur sa luge…
Pas de télévision bien sur, pas de téléphone, le facteur ne s’aventurant qu’une fois la semaine… Et encore…
Impossible d’utiliser la voiture durant des semaines, les courses, nous allions les faire à pieds tout les trois les jours ensoleillés et papa y allait seul lorsque la burle dévalait en travers les forêts.
Mes visites à Lise à l’heure du café était ma seule relation sociale mais riche en souvenirs et en tendresse. Elle m’apprit à faire mon pain, à conserver mes légumes et faire sécher ma viande ; à préparer des potions médicinales. A vivre comme elle !
Parfois aussi sans électricité lorsque les fils aussi vieux que notre maison ne supportaient plus le poids du gel et de la neige, alors, à la lumière des bougies et de la cheminée nous parlions tous les trois riches de nous mêmes et de l’amour pour notre enfant.
Les cloches des chèvres et moutons annonçaient l’arrivée du printemps en même temps que poussaient sous nos yeux les jaunes jonquilles le long des ruisseaux.
Trois hivers, passés ainsi. Trois années qui ont enrichi notre fille et fait un peu ce qu’elle est aujourd’hui, simplement merveilleuse comme une jacinthe des neiges des monts ardéchois…

Ballade en l'Ardèche  dans amitie presentation-a-l-hotel-lacoste-des-oeuvres-de-christine_408238_510x255

 

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